Ancien site ferroviaire, cette friche ouvre une nouvelle perspective économique pour la ville. En outre, ce site pollué représente l’opportunité d’expé-rimenter une dépollution par plantes phytosanitaires. Créer un quartier nouveau, c’est donc s’enquérir de l’existant et prendre parti : ainsi, un tracé conducteur a été élaboré pour classer les aménagements en fonction des usages. La question du temps est prédominante dans ce projet, bâtir doit être une action révélatrice d’un besoin.
Jardin de préfiguration de la Gare
La question du temps est prédominante dans ce projet, bâtir doit être une action révélatrice d’un besoin. Tout d’abord le processus de con-struction est initié par l’insta-llation d’un café, centre dynamique prime, permettant une familiarisation des Castel-briantais avec ce nouveau quartier. Des liaisons ont été mises en place pour se relier à la ville et aux trames verte et bleue. Ce jardin préfigu-re donc la ville tertiaire de demain en superposant maillage végétal et nou-veau cadastre.
Racine au cube
4 copines et 4 têtes brûlées : voici les ingrédients d’une équipe de choc qui vous présentent le jardin de préfiguration de la gare de Châteaubriant. Nous aimons toujours voir plus grand : c’est pourquoi 16 ha de friche nous ont paru être un projet raisonnable. Rome – oups – Châteaubriant ne s’est pas faite en un jour, c’est pourquoi la question de l’évolution nous a énormément intéressée. En somme, relever des défis, penser écolo, et jouer aux despotes sont notre crédo.
Lucile Sauvestre, Emilie Drouin, Lucile Piveteau et Noémie Brunet
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